Rétro-Test : Castlevania Symphony of the night

castlevania-sotn-jaquette Monument du jeu Old-School, Catlevania arrive sur la Playstation première du nom et marquera les esprits en combinant ce qui a fait le succès de la série par le passé via la plateforme et le game design gothique et y ajoutera une touche RPG qui saura conquérir le coeur de nouveaux joueurs.

1) Scénario

Tout commence par la fin du jeu Castlevania sur SuperNES dans la peau de Richter BELMONT dans son combat final contre le comte DRACULA. On va passer les détails de l’histoire pour ne pas spoiler ceux qui n’y auraient pas encore joué, et pas ennuyer ceux qui l’ont déjà fait, pour passer direct à la phase “on commence le jeu, le vrai”. On se retrouve aux portes du château de Dracula dans la peau cette fois-ci, non pas d’un BELMONT, mais celle d’ALUCARD, fils de Dracula, venu pour tuer son père et venger la mort de sa mère, morte pour avoir aimé un monstre….Hérétique. Donc Alucard est mi-humain, mi-vampire, mi-molette (oui, quand on voit à quelle vitesse ce dernier se déplace dans le jeu…).

Pour la petite anecdote dont tout le monde se fout, ALUCARD, en verlan, ça fait DRACULA, heureusement que son père ne s’est pas appelé LUC, sinon, son charisme en aurait pris un sacré coup, et pas que son charisme. Enfin bon, les faits sont là, on va devoir parcourir le château de fond en comble pour au final aller zigouiller notre père, ce cher Comte.

Toi là bas qui a dit “Quand on aime on ne comte pas …” tu sors de suite, bien que tu m’aies fait rire, ici on est sérieux.

En chemin, nous feront la rencontre de Marie, qui soit dit en passant ne sert à rien, sauf nous filer un item à un moment pour pouvoir profiter de la vraie fin.

2) Gameplay

Le gameplay pourrait sembler classique, jeu de plateforme, une touche d’attaque une touche de saut et en avant, eh bien NON. Je vous parlais au début de cet article d’une partie RPG, elle rentre en compte.

Alors oui, on avance, on saute on tape, très bien, mais au delà de ça, on peut effectuer des dashs (technique d’évitement via un mouvement rapide en arrière, via une seule touche, et c’est souvent salvateur) mais mais mais certains ITEMs vous serviront aussi  à acquérir le double saut par exemple, les armes que vous équiperez ont un game-design propre à chacune, ainsi on ne maniera pas les masses de la même manière que les épées, il y a des épées à une et à 2 mains, avec une vitesse d’attaque qui varie, bon, je ne vais pas vous gâcher tout le plaisir, mais certaines armes ont aussi des “attaques spéciales” à débloquer en faisant une manip, d’autres auront une attaque spéciale de base directement.

De même, il y a un bâton qui permet de déclencher le pouvoir spécial de chaque bouclier, ah je vous avais pas dit ? Oui, en plus de l’arme, on peut équiper un bouclier, un casque, une armure, des bottes, des bagues et colliers. Ça en fait du monde, non ?

3) Pourquoi s’y (re)mettre ?

Le Design du jeu n’a pas vieilli, on reste sur de la 2D, mais magnifique, un style gothique, une ambiance sonore monumentale qui remplit son rôle et vous immerge totalement, mais la chasse aux objets et ITEMs cachés qui décupleront vos stats (car oui votre personnage peut gagner en niveau et faire grandir ses stats : HP, MP, force, intelligence…) mais les ITEMs vous y aideront également.

Faire du gros-billisme

Alors bon, trouver de nouveaux objets et armes c’est cool, faisant évoluer le gameplay (bien que tous les objets ne soient pas représentés graphiquement, sinon le jeu se serait appelé CastleVania X Mister T tellement on a de babioles à la fin) c’est franchement cool, mais très vite vient l’attrait de vouloir faire du Level-up pour éclater tout ennemi rencontré en un seul coup, parce que oui c’est ultra-jouissif d’être une brute.

Le fait de la 2D finement designé permet au jeu de ne pas prendre une seule ride et s’en refaire une session une fois tous les 2 ans reste forte.

 

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